A dépenser aujourd'hui, dimanche, entre 16h et 21h30!
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Brain Damage (1988) de Frank Henenlotter
C'est gagné pour Simon sur la page facebook !
Brian mène une existence sans histoire jusqu'au jour où il fait la connaissance d'Elmer, une mystérieuse créature (une sorte de mr Hanky mutant). Elmer a la capacité d'injecter dans le cerveau une drogue puissante, dont, très vite, on ne peut plus se passer. Jeune et influençable, Brian devient totalement dépendant d'Elmer. Mais il y a un prix à payer: pour vivre, la créature a besion de dévorer des cerveaux humains...
Brain Damage est sorti en France en 1988 avec une interdiction aux moins de seize ans, sous le titre rigolo: Elmer, le remue méninges. Une façon de mettre l'accent sur les aspects comiques du film....L'on y rit un peu, certains effets sont grotesques mais irrésistibles et Elmer assure le show avec son bagout. Mais quand même, la tension est permanente. Si l'on boit trop de bières et que l'on mange trop de chips (ou de molitors cumin), on peut s'attendre à quelques nausées. Frank Henenlotter, nourri aux grindhouses de la 42eme rue, et encore stupéfait du succès inattendu de son premier film (Basket Case), ne fait pas dans la dentelle, pas d'économies sur l'hémoglobine et force largement le trait avec plusieurs couches de vernis glauque. Avec le recul, le film est très sévère avec son époque, n'épargnant ni notre malheureux héros toxico malgré lui, ni aucune autre âme perdue de ce misérable quartier newyorkais.
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Les indices inutiles:
Brain Damage (1988) de Frank Henenlotter
C'est gagné pour Simon sur la page facebook !
Brian mène une existence sans histoire jusqu'au jour où il fait la connaissance d'Elmer, une mystérieuse créature (une sorte de mr Hanky mutant). Elmer a la capacité d'injecter dans le cerveau une drogue puissante, dont, très vite, on ne peut plus se passer. Jeune et influençable, Brian devient totalement dépendant d'Elmer. Mais il y a un prix à payer: pour vivre, la créature a besion de dévorer des cerveaux humains...
Brain Damage est sorti en France en 1988 avec une interdiction aux moins de seize ans, sous le titre rigolo: Elmer, le remue méninges. Une façon de mettre l'accent sur les aspects comiques du film....L'on y rit un peu, certains effets sont grotesques mais irrésistibles et Elmer assure le show avec son bagout. Mais quand même, la tension est permanente. Si l'on boit trop de bières et que l'on mange trop de chips (ou de molitors cumin), on peut s'attendre à quelques nausées. Frank Henenlotter, nourri aux grindhouses de la 42eme rue, et encore stupéfait du succès inattendu de son premier film (Basket Case), ne fait pas dans la dentelle, pas d'économies sur l'hémoglobine et force largement le trait avec plusieurs couches de vernis glauque. Avec le recul, le film est très sévère avec son époque, n'épargnant ni notre malheureux héros toxico malgré lui, ni aucune autre âme perdue de ce misérable quartier newyorkais.
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Les indices inutiles:
can't stop the music?
RépondreSupprimerHé non, mais je suis ravi d'apprendre l'existence d'un film sur les Village People, merci beaucoup. Le film que l'on cherche est bien américain et est bien sorti dans les années 80.
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